


Sohier Dans Arvor Dans l'Heure Bretonne Dans Stur Dans Breiz Atao Obsèques de Sohier Le breton à l'école Mensonges assassins Qui est responsable ?
| | Sohier dans Arvor En dépouillant Arvor, le journal de Roparz Hemon, on voit Sohier revendiqué : En septembre 1941, à la Une, sétale l'article : " Yann Sohier. Pionnier du breton à l'école. " Abeozen (François Elies, associé à Roparz Hemon à Radio-Rennes et à l'Institut Celtique, financés par l'armée nazie)
L'éditorial de Roparz Hemon - Pendaran est un chantage à l'intervention nazie, alimenté par les groupes de combats de Breiz Atao
En juin 1942, à la Une " Un livre attendu. ' Me a lenno ' de Yann Sohier (...) Le livre de lecture Me a lenno, paru il y a quelques mois, sept ans après la mort de son auteur, est précisément un premier pas dans la voie de la constitution d'une élite bretonnante en partant de l'enfance. (...) Chaque leçon est (...) accompagnée d'une gravure due au talent de l'artiste bien connu R.-Y. Creston. (...) Ajoutons enfin que Me a lenno est le premier livre à avoir été édité suivant les règles de la nouvelle orthographe (...) "
Dans cette page de Une, également l'article " Kefridi ar vrezhonegerien, gant Roparz Hemon ", qui prévoit d'en finir avec les " francisants ". Également l'annonce de la réédition de " An aotrou Bimbochet e Breizh " (Le voyage de Bimbochet en Bretagne), roman " d'anticipation nationaliste " de Roparz Hemon en 1925, lançant la "haute tenue littéraire " de Gwalarn, qui voit le français Bimbochet voyager dans la " Bretagne Libre ", et y mourir.
En septembre 1942, à la Une, " ' Me a lenno ' dans les écoles ", l'éditorial antisémite de Roparz Hemon - Pendaran, à la suite de quoi Arvor bascule entièrement en breton. Notons bien, finalement : " Bien qu'il (Yann Sohier) soit mort, il continuera à conduire les jeunes générations vers la victoire, la victoire des Celtes qui se seront définitivement relevés après des siècles de honte et d'esclavage. "
En mars 1944, la Une, en entier est consacrée à Sohier, avec un éloge de l'Abbé Perrot, en avril 1935, dans son journal Feiz ar Breiz, après la mort de Sohier ; et une lettre de Kerlann, successeur de Sohier à la tête de Ar Falz, depuis l'école en breton qu'il avait fondé à Plestin, de 1941 à 1944.
Tout cela est extrêmement étonnant, mais on peut admettre que Yann Sohier étant mort, Ar Falz déclaré « en sommeil », personne ne puisse protester.
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